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9 janvier 2025 4 09 /01 /janvier /2025 11:58

Artiste : Isaac HAYES

Album : THE ISAAC HAYES MOVEMENT (Stax - 1970) 

Genre : Soul, funk

Nous sommes en 1971 et Isaak HAYES est au sommet de son art et de sa popularité. Le Black Moses (voir la magnifique photo qui occupe l'intégralité de la l'intérieur de la pochette) nous livre ici une version XXL de "Something" tant par la durée ( près de 12 minutes) que par la luxuriance des arrangements. Toute l'armada requise par les grandes stars de la soul (et plus tard du disco) est réunie, section rythmique bien évidemment (The Bar-Kays), section de cordes et de cuivre, choeurs... Il ne manque rien. Et après une belle et longue introduction, la voix grave et suave du crooner se pose avec sensualité sur cet écrin de velour. Un solo de violon (de John Blair) papillonne ici et là.  

 On peut ne pas aimer, mais il faut être vraiment difficile.

 

 

 

Isaac Hayes :

The chains that bind us will be broken, transformed into gold and will be adorned on our bodies as symbols of our enduring strength and permanent freedom from those that attempted to strip us...

Traduction : Les chaînes qui nous lient seront brisées, transformées en or et ornées sur nos corps comme symboles de notre force durable et de notre liberté permanente face à ceux qui ont tenté de nous dépouiller.

On retrouve cette version d'Isaac Hayes (dans sa durée totale)  sur cette excellente compilation "STAX DOES THE BEATLES" composée de reprise par la crème de l'écurie Stax. Franchement, il n'y a rien à jeter. 

STAX / Concord Music Group - 2008

SOMETHING / 6 - La version XXL d'Isaak HAYES
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  • : Mes disques à moi !
  • : Un petit tour nonchalant dans ma collection de disques. Au hasard, vous trouverez le meilleur (surtout) comme le pire (un peu, pour rigoler) ! je les revendique tous ! j'aime aussi regarder ce qui s'était écrit à l'époque dans les magazines musicaux et particulièrement Rock&Folk, que je remercie au passage de ne pas m'avoir encore trainé en justice pour avoir chipé le titre d'une célèbre chronique de la revue. Philippe
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